Les rideaux sont tombés sur la deuxième session ordinaire de l’année 2025 du Conseil régional (CR) de la Kara, le jeudi 10 avril à Kara, après huit jours de travaux sanctionnés par des résolutions pour le développement local.
Durant la session, les membres de la commission des affaires économiques, financières, juridiques, administrative et de la planification, se sont rendus successivement aux services du contrôle financier, de la trésorerie régionale, des divisions régionales des opérations douanières, des impôts et du cadastre, ainsi qu’à la mairie de la Kozah 1.
Ces différentes visites ont été ponctuées de propositions d’ébauche du budget pour leur faciliter l’élaboration et l’adoption du budget primitif du CR au moment opportun.
Les conseillers régionaux ont échangé aussi sur les points relatifs à l’élaboration d’une délibération portant répartition de la dotation de fonctionnement, à l’analyse et aux échanges autour des maquettes proposées pour la conception du logo du Conseil et à l’élaboration et l’adoption du plan d’action prioritaire provisoire pour 2025-2026.
Outre ces activités, les élus régionaux ont suivi une communication sur le civisme fiscal.
Selon le président du Conseil régional de la Kara, Bakem Téba Blakinam, cette 2e session ordinaire qui était programmée pour durer dix (10) jours conformément aux dispositions de la loi sur la décentralisation, s’est vue écourtée pour cause d’absence de la lettre d’orientation budgétaire pour l’élaboration et l’adoption du budget du CR.
Mais, a-t-il souligné, la communication sur la fiscalité, leur a permis de cerner les tenants et les aboutissants de la fiscalité, afin d’organiser efficacement des campagnes de sensibilisation sur la thématique pour une meilleure mobilisation des ressources financières dans la région.
Par rapport au logo, il a précisé qu’« après avoir débattu autour de 2 différentes maquettes présentées par les concepteurs, les conseillers ont apporté leurs amendements et adopté un modèle qui sera désormais représenté sur les différents documents du Conseil, après approbation de la tutelle ».
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