La première ministre Victoire Tomégah-Dogbé,a échangé mardi 7 septembre avec le nouvel ambassadeur de la République du Nigéria au Togo. Adesina Adebowale qui a pris fonction depuis le 23 juillet dernier dans le pays. Elle a également reçu le gouverneur du District 9102 de Rotary Club International du Bénin, Rufine Lima Quenum en visite au Togo dans le cadre des activités du Club.
L’entretien avec le nouvel ambassadeur du Nigéria au Togo, Adesina Adebowale a porté sur le renforcement des relations bilatérales entre le Togo et son pays le Nigéria. Cette coopération, a-t-il indiqué, sera beaucoup plus renforcée dans les secteurs de l’éducation et de l’agriculture et la modernisation de l’économie, etc. La situation sécuritaire et le renforcement de la stabilité au niveau de la sous-région, ont fait également objet de discussions entre les deux personnalités. Selon le diplomate, les peuples Nigérian et togolais entretiennent de bons rapports. Sa mission au Togo, a-t-il rappelé, va consister à l’amélioration de ces rapports pour le bien-être des peuples. Ceci, à travers la mutualisation des idées et le renforcement du capital humain indispensable au développement des pays.
Servir pour changer les vies
« Mme le Premier ministre nous a félicité et a décrit ce qui se fait au Togo. Nous l’avons assuré que le Rotary International supporte toutes les actions faites dans le pays à travers l’appui qu’il apporte au gouvernement pour l’autonomisation des filles, la promotion de la santé et de l’économie ainsi que le développement social des femmes en général », a indiqué Mme Rufine.
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Selon elle, sa visite dans le pays va consister à soutenir les clubs Togo et voir si les objectifs qui leur sont assignés sont respectés. Il sera question de faire une évaluation des activités menées sur le territoire en vue d’une meilleure harmonisation avec le thème principal : « Servir pour changer les vies », retenu pour l’année 2021-2022 au niveau international. Ceci, en mettant l’accent beaucoup plus sur l’autonomisation des filles et des femmes qui vivent dans des conditions précaires dans les communautés. « Nos actions dans ce sens doivent prendre en compte la déscolarisation des filles, les mariages précoces, les problèmes de fistules obstétricales, de santé de la mère et de l’enfant ».
Avec Togo Presse
