
Lancé le 4 mars par le Chef de l’état, le plan national de développement (PND,2018-2022), occupe le débat ces dernières semaines dans le pays. Il a été au centre de l’Africa Ceo à Kigali au Rwanda en début de semaine et des échanges entre M.Gnassingbé et le dirigeant Sud africain.
Malgré cet engagement du premier responsable du pays à mobiliser les investisseurs autour de sa mise en oeuvre, les opposants voient tout simplement une mise en scène.
Pour Brigitte Kafui Adjamagbo-Johnson, « aucun investisseur n’acceptera verser son argent dans un pays où la stabilité politique fait défaut ».
Invitée d’une émission ce dimanche sur une radio locale, la coordinatrice de la coalition de l’opposition en difficulté actuellement, Brigitte Adjamagbo Johnson souligne que » Faure Gnassingbé aurait mieux fait de chercher à éteindre le feu politique actuelle que de gesticuler de pays en pays pour chercher d’éventuels financements pour la mise en œuvre du PND. Pour le moment, ce ne sont que des agitations qui n’aboutiront à rien « .
Elle a appelé les autorités togolaises à cultiver la bonne gouvernance et éviter les crimes économiques et les impunités.
Le PND pour rappel est articulé autour de trois axes.