
(24hinfo)-Le dialogue inter-togolais a été de nouveau suspendu vendredi pour deux semaines.
Opposition et pouvoir ont lors de cette deuxième séance abordé des questions constitutionnelles, c’est- dire la constitution de 1992 , son retour, ses conséquences en présence du facilitateur, le président ghanéen, Nana akufo-Addo.
Selon l’opposition, la constitution doit faire restaurer le bout de phrase « en aucun cas, nul ne peut faire plus de deux mandats », conséquence, le président Faure Gnassingbé, qui a déjà bouclé deux mandats et actuellement dans son troisième mandat serait exclu.
Ce que la majorité présidentielle aurait interprété comme une manière pour l’opposition d’empêcher un citoyen d’aller à une élection.
La loi étant impersonnelle, elle ne doit exclure personne, a indiqué la majorité, selon notre source.
Conséquence, pas d’accord et le dialogue est suspendu.
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Jean le Grand
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