Le sommet mondial des filles organisé pour la première fois sur le continent africain, précisément au Togo les 21 et 22 octobre 2021 a accouché plusieurs recommandations assorties d’une feuille de route. Organisé dans le but de promouvoir des échanges entre filles d’Afrique et du monde entier sur les sujets qui affectent leur vie et leur engagement dans un espace sûr et sécurisé sur le thème de l’égalité de genre, le sommet a réuni en présentiel et en ligne plus de 3000 participants.
A la clôture des travaux, la présidente de l’Assemblé nationale togolaise, Yawa Tsègan chargée par les filles pour conduire la mise en oeuvre des recommandations de Lomé, a salué la « qualité des débats, la pertinence des idées développées et la richesse des différents partages », qui « augurent d’une meilleure prise de conscience individuelle et collective, sur la nécessité de revoir la situation des filles dans le monde ».
Pour la députée, les « conclusions auxquelles les travaux ont abouti, les diverses propositions et recommandations recueillies nécessitent la mise en place d’un mécanisme de concertation efficace, dans la continuité de ce sommet, en vue de faire le suivi de leur mise en œuvre ».
A l’issue des deux jours de discussions, il a été recommandé entre autres une harmonisation des lois dans tous les pays du monde sur la question des droits de la jeune fille, et l’offre de facilités d’accès à la santé, à l’éducation aux filles ainsi que l’opérationnalisation du parlement des jeunes inter États.
Saluant la bonne tenue du sommet face à l’engagement pris par chaque partenaire, la représentante résidente au Togo de Plan international Awa Falipa, a remercié pour les facilités offertes aux participants les autorités togolaises dont la présidente de l’Assemblée nationale togolais,e Yawa Tsègan présente à l’ouverture et à la clôture des travaux.
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