Avant son arrestation, l’ex patron des Forces spéciales burkinabè, le Commandant Ahmed Kinda, attendait au Niger, 150 mercenaires en provenance de Centrafrique et armés de fusils d’assaut AK47, de 10 PKMS, de 10 RPG7 et de 4 mortiers pour lancer un pan de l’opération de déstabilisation contre les institutions du Burkina Faso.
Il a fait cette confidence lors d’une vidéo publiée par les autorités judiciaires.
Le ministre burkinabè de la Sécurité, Mahamadou Sana, a déclaré le lundi 23 septembre 2024, sur la chaîne de télévision nationale, que des civils et des militaires burkinabè résidant en Côte d’Ivoire ont à plusieurs reprises tenté de déstabiliser les institutions du Burkina Faso avec le soutien de puissances étrangères.
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