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PASA : 1,5 milliards de F Cfa consacrés  à la filière élevage en 2019

Ces trois dernières années au Togo le gouvernement togolais a mis un  point d’honneur sur la promotion du sous-secteur élevage. En 2019, grâce à la mise en œuvre de la phase additionnelle du Programme d’appui au secteur agricole (PASA) consacrée à la relance du sous-secteur de l’élevage, 1,5 milliards F Cfa ont été décaissés pour soutenir plus de 300  éleveurs.

Après une phase initiale ayant permis d’appuyer 170 éleveurs, le Projet d’Appui au Secteur Agricole (PASA), dans sa phase additionnelle a accompagné 300 nouveaux bénéficiaires à hauteur de 3,5 millions FCFA par éleveur en 2019.

Cette subvention, dont le montant est plafonné à 1,5 milliard FCFA,  a permis  aux acteurs de ce sous-secteur de faire la promotion des élevages commerciaux.


La phase additionnelle  du PASA visait à  « faire migrer les meilleurs éleveurs opérant à l’échelle familiale à un statut d’éleveurs semi- modernes ».  Objectif : faire de ces éleveurs, « de véritables entrepreneurs en élevage, capables d’alimenter les marchés en produits d’élevage (volailles locales et petits ruminants sur pied) ».

307 accompagnés

Ainsi au cours de 2019, 307 éleveurs dont cinquante dans la région maritime, soixante-dix dans les Plateaux, soixante-sept  pour la région centrale, cinquante  dans la région de la Kara et soixante-dix  dans la région des savanes ont reçu des appuis financiers du PASA.

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Selon les données du ministère en charge de la production animale, depuis  2017, le programme  PASA a permis au pays de relancer le secteur qui présage d’un avenir meilleur pour le secteur. Ainsi, le Togo est passé 300.000 têtes de bœuf à 475.000 et de 1,5 million à 4,2 millions d’ovins et caprins. La production de volailles a connu une hausse de 8 millions à 14,5 millions de têtes.

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Cette relance qui cadre avec les objectifs du Plan national de développement vise à assurer la sécurité alimentaire, accroître les revenus des exploitants et améliorer les conditions de vie des populations rurales, particulièrement celles des populations vulnérables, les femmes et les jeunes.

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