Des étudiants de l’Université de Kara ont entamé mardi 23 février 2021, une formation sur l’utilisation de la plateforme Cairn-info à l’initiative de la bibliothèque Universitaire (BUK).
Dirigée par Maèbèna Soukiya, elle a pour objectif de les outiller pour les recherches et l’utilisation de la plateforme numérique, lancée en 2005 par quatre maisons d’édition – Belin, De Boeck, La Découverte et Érès – auquel la Bibliothèque nationale de France s’est associée en 2006, puis les Presses universitaires de France en 2014 et le groupe Madrigall en 2020
Pour la première journée, deux vagues d’une cinquantaine d’étudiants, majoritairement des délégués et responsables d’associations, ont pris part à cette séance qui va durer trois jours. Cette phase pilote vise à faire des étudiants sélectionnés des « Pairs-formateurs », qui transmettront, à leur tour les connaissances reçues à leurs pairs.
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Après la phase théorique, quelques étudiants sont passés à la pratique. Au cours de cette phase, ces derniers se sont essayés à la création de leur compte personnel sur la plateforme numérique Cairn-info avec succès. Cette étape leur a permis d’amorcer la recherche des articles, ouvrages et autres, relevant de leur domaine de formation sous le regard attentionné du formateur et de leurs camarades.
Pour le directeur adjoint de la bibliothèque, la mutation numérique est un projet phare de l’Université de Kara qui est initié par le professeur Komla Sanda, président de ladite institution. « Au terme de cette séance, ces étudiants sont prêts à faire leurs recherches et publications où qu’ils soient via leurs compte cairn-info. C’est une avancée considérable très salutaire qui vient à juste titre seconder les cours en ligne pour une excellente formation des cadres de demain à l’Université de Kara », a mentionné M. Soukouya.
« La plateforme numérique cairn-info vient à point nommé renforcer mes capacités en matière de recherches en m’amenant à découvrir des documents scientifiques de qualité pour ma formation, et la rédaction de mon projet de mémoire », a déclaré Kpani Yao Marus, étudiant en master Agrobusiness.
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