(24hinfo)-Candidat aux législatives du 20 décembre, sur la liste UNIR-Grand Lomé, Kovi Akoeté Adanbounou appelle les jeunes Togolais à préparer leur avenir et à profiter de toutes les opportunités offertes par le gouvernement pour leur pleine épanouissement.
Intervenant samedi lors d’un meeting de campagne organisé par la liste UNIR-Grand Lomé à Agoe-Nyivé (banlieue Nord de Lomé) devant des milliers de jeunes, il s’est réjoui de la maturité de la jeunesse Togolaise d’aujourd’hui comparativement à celle des années 90.
« On est intéressé plus par notre avenir, par le développement de notre pays ». « Nous ne sommes plus des jeunes qu’on peut manipuler facilement, parce que nous savons que seul le travail paie et ce que je voudrais vous dire c’est que le 20 décembre, les élections législatives représentent pour nous, jeune Togolais, un référendum, parce que pour nous irons le 20 décembre, dire oui à la paix, dire oui à la stabilité, oui au développement et non à la violence ».
Poursuivant ses propos, il a fait savoir que le président du parti UNIR et président de la République a « aujourd’hui à cœur les préoccupations de la jeunesse Togolaise ». Pour ce dernier, a-t-il paraphrasé « la jeunesse Togolaise est une richesse pour le pays ». De ce fait, a indiqué le Trésorier du Mouvement des Jeunes UNIR (MJU) , « nous devons nous mettre au travail » « notre place n’est pas dans la rue, notre place n’est pas non en prison » mais plutôt « au bureau » dans « une entreprise », ou encore sur » les bancs d’études ».
« Nous devons préparer demain aujourd’hui. Si nous allons perdre notre temps, à aller dans les rues alors que d’autres sont en train d’étudier demain ce sont ces derniers qui trouveront encore d’emploi au moment où nous serons sans compétences » », a-t-il fait savoir.
Il a pour finir lancé un appel à « voter UNIR massivement le 20 décembre » afin de « donner encore plus de force à notre président jeunes de continuer par travailler pour nous. Avec lui, on est sûr qu’on ira loin ».
«Pour la Victoire de UNIR le 20 décembre, allons-y », a-t-il soutenu.