(24hinfo)-Dans la perspective des élections législatives du 20 décembre, chaque maillon impliqué dans le processus se prépare. C’est ainsi que les commandants de la force sécurité élection 2018 (FOSE), les journalistes et organisations de la société civile ont échangé sur le volet sécurité des élections en début de semaine à Notsé situé à 96 Km de Lomé.
Pour le Gl Yark Damehane, ministre de la sécurité et de la protection civile, ministère sous lequel est placé la force « tout est prêt pour accompagner la Commission électorale nationale indépendante (CENI) dans l’organisation des élections ».
Le mot d’ordre est la fermeté à l’endroit des fauteurs de trouble ou quelque individu qui tentera d’empêcher le bon déroulement des activités.
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« Le boycott est un choix démocratique mais je ne sais pas par quel moyen ceux qui veulent empêcher les élections le feront. Il faut qu’elle se ressaisisse. Je demande à la jeunesse de réfléchir par 2 fois avant de s’engager dans ce qu’on lui dit de faire», a-t-il laissé entendre au micro de la radio Victoire FM.
Le ministre estime que les principaux acteurs politiques de l’opposition sont certainement en fin de carrière politique, par conséquent, la jeunesse doit en prendre conscience. De fait, souligne-t-il, l ’avenir, comme on le dit, « c’est la jeunesse ».
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« Les gens ont décidé de rester à la maison malgré les chances qui leur ont été données de participer au recensement. Ils ont encouragé les gens à ne pas se faire recenser disant que le vrai recensement arrive. Par quelle alchimie ce recensement va arriver ? », s’est interrogé le patron de la Sécurité.
Notons que la FOSE 2018 est composée de 8000 hommes.
