Les opérateurs de saisie (OPS) de la deuxième vague ont démarré ce lundi leur formation de trois jours dans la perspective du démarrage de la révision électorale le 16 mai prochain.
Selon le président de la Commission électorale nationale indépendante (CENI), Tchambago Ayassor, la session se veut un « recyclage » des opérateurs retenus pour la révision et qui ont déjà fait leur preuve lors des opérations de recensement de 2018.
Il les a exhortés à plus d’attention et à une meilleure assimilation des différents modules.
M. Ayassor a précisé par ailleurs que les dates avancées par son institution récemment pour les élections locales sont des propositions faites au gouvernement qui devra l’entériner ou non à travers un décret.
Au terme de leur formation, les OPS seront déployés sous la responsabilité des Comités de Listes et Cartes (CLC) dans les Centres de Recensement et de Vote (CRV) ouverts pour la révision des listes électorales. Le rôle des OPS dans ces centres consiste à utiliser les kits d’enregistrement biométriques pour saisir les données biographiques et biométriques des électeurs et imprimer la carte d’électeur.
Pour la révision électorale, ils seront un total de 6000 opérateurs qui seront déployés.