Economie

Sandra Johnson aux assemblées annuelles de la Banque mondiale

En marge des assemblées annuelles du Groupe de la Banque mondiale et du Fonds monétaire international (FMI) qu’accueille à Marrakech au Maroc, la ministre Secrétaire générale de la présidence de la République, Dr Sandra Ablamba Johnson, s’est entretenue, mardi 10 octobre avec le Vice-président de la Société Financière Internationale (SFI), Sergio Pimenta.

La cheffe de la délégation togolaise sur son compte Twitter a mentionné que « Cette réunion bilatérale entre la délégation togolaise et la SFI a offert l’occasion d’examiner en détail les initiatives en cours, notamment le financement des secteurs sociaux tels que la santé et le logement. Des projets dont les préparatifs évoluent bien et dont la réussite fera cas d’école. En plus de ces secteurs, la SFI est présente dans le secteur de l’énergie et apporte son soutien aux PME”.

Le gouverneur du Togo auprès de la Banque mondiale a saisi l’occasion pour plaider en faveur d’une collaboration renforcée, en tenant compte de la “feuille de route ambitieuse” du gouvernement, qui accorde une place de choix au secteur privé, essentiel pour l’avenir du pays.

La délégation togolaise a également échangé avec le Vice-président de la Banque mondiale chargé de l’Afrique de l’Ouest et du Centre, Ousmane Diagana.

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“Lors de cette rencontre, le Groupe de la Banque mondiale a chaleureusement félicité notre pays pour ses performances exceptionnelles récentes. Plus spécifiquement pour l’année fiscale 2023, notre nation s’est distinguée en occupant la première place en matière de taux de décaissement au niveau du groupe et la première position en termes de taux de progression du CPIA”, a écrit la cheffe de délégation.

Il faut noter qu’actuellement, le portefeuille de la Banque mondiale au Togo comporte 15 projets et programmes, pour un montant total d’engagements de 385,5 millions de dollars dans de nombreux secteurs dont l’agriculture, l’éducation, la santé, la protection sociale et les télécommunications.

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L’objectif  de cette rencontre, c’est d’améliorer les instruments de garanties. En un an, la SFI a augmenté de 30 % ses engagements avec des entreprises du privé : « Les résultats sont là, mais on n’est pas du tout satisfaits, tant qu’il y aura ce niveau de pauvreté, on ne sera pas satisfaits », résume Makhtar Diop.

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