
Des enseignants chercheurs de l’Université de Lomé ont écrit mardi 9 avril 2034, une lettre ouverte au président Faure Gnassingbé sur la révision constitutionnelle adoptée par l’Assemblée nationale togolaise le 25 mars 2024. Laquelle bascule le Togo dans une cinquième République avec un régime parlementaire.
Pour ces universitaires signataires de la lettre dont l’ancien ministre de l’enseignement supérieur et de la recherche, Nicoue Broohm, la démarche de révision s’apparente à un coup d’État constitutionnel.
“La démarche entreprise par une Assemblée nationale en fin de mandat porte les germes d’une crise sociale aux conséquences imprévisibles”; Elle est inopportune en ce moment où le Peuple togolais se mobilise pour élire une nouvelle Assemblée nationale et désigner ses élus régionaux“; L’Assemblée nationale ne peut, en aucun cas, adopter une nouvelle Constitution ni au cours de son mandat ordinaire, ni pendant le prolongement de celui-ci“
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