
Afin de consolider les résultats de la première édition et renforcer leur participation aux projets de développement, avec en ligne de mire le Plan national de développement, l’Ordre national des ingénieurs du Togo organise les 13 et 14 décembre prochains à Lomé, la deuxième édition de la journée nationale de l’ingénieur. Placés sous le thème, « L’ingénieur face au défi actuel du développement du Togo », les travaux se dérouleront autour de trois panels notamment, les ingénieurs togolais au cœur des projets structurants du PND 2018-2022, les ingénieurs dans le développement des PME/PMI : création, mobilisation de financement, montage de plan d’affaire, gestions des projets et quelle formation d’ingénieur pour répondre aux défis d’aujourd’hui et de demain ?
Pour le président du Comité d’organisation, Marius Bagny interrogé par 24heureinfo.com, cette deuxième édition vient sous forme de confirmation pour réaffirmer la présence des ingénieurs togolais dans la cité mais aussi, leur entière disponibilité à contribuer aux projets structurants du Plan national de développement (2018-2022).
« Au cours de la première édition, les ingénieurs se sont retrouvés avec des partenaires, des acteurs de développement, des pouvoirs publics et des établissements d’enseignement, pour démontrer leur potentiel à contribuer au développement de leur pays », a-t-il confié. Ce coup d’essai a permis de canaliser les compétences de ces professionnels, éparpillés dans le pays et à l’étranger. « Cette deuxième édition, nous permettra d’accentuer la présence dans l’esprit de la population, des pouvoirs publics, le secteur privé, de l’ingénieur », a-t-il martelé.
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Des rencontres d’affaires…
Rencontres B&B, Job Dating, et des consultations gratuites sont à l’ordre du jour de l’acte II de la JNI. Ces activités, selon l’organisation visent à montrer au public la place de l’ingénieur dans les projets de société. A travers les rencontres B&B, l’ordre national souhaite permettre aux partenaires, cadres et personnes de nouer des relations de collaboration avec les ingénieurs togolais dans différents domaines, comme la mécanique, le BTB, l’énergie, etc…
Plus de 500 ingénieurs résidents ou non au Togo se sont enregistrés dans la base de l’Ordre à la fin de la première édition de la JNI, affirme M. Bagny, pour qui, l’ingénieur doit aujourd’hui s’engager à l’adaptation et à l’amélioration des systèmes de production, à la gestion efficace des nouvelles technologies en dépit de l’influence des changements continus de l’économie internationale, de la prédominance des flux d’informations et de la remise en cause permanente de la gestion d’entreprise.