La décision de la ministre des sports Dr Lidi Bessi-Kama de suspendre les activités sportives est tombée jeudi 18 mars comme un véritable coup de massue. Ni le président du Comité national olympique, Deladem Akpaki et les présidents de fédération ne s’y attendaient cinq jours après le lancement à Atakpamé (156 km de Lomé) de l’année sportive. Et les grandes victimes de la décision imputée à la montée en flèche des cas positifs de covid-19 sont les athlètes et les joueurs.
Dans son courrier au président du CNO, la ministre a décidé d’annuler toutes les dérogations accordées entre temps aux fédérations qui se préparaient déjà à démarrer les activités sportives au Togo. Surtout la fédération togolaise de football qui démarre le championnat de première division samedi 20 mars. Une annulation justifiée par l’évolution des cas de contaminations de la Covid-19 au Togo, et les décès qui sont enregistrés ici et là et enfin, la circulation active du variant britannique sur le territoire togolais.
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Avant de prévenir attacher « du prix au respect scrupuleux des dispositions de l’arrêté susvisé et j’exhorte le mouvement sportif togolais en général et les fédérations sportives nationales en particulier à faire preuve de responsabilité et de compréhension afin de permettre à notre gouvernement d’endiguer cette pandémie ».
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« Nous sommes satisfaits de la concrétisation de la reprise des activités sportives dans le respect des mesures barrières. Nous sommes très heureux que nos athlètes et joueurs retrouvent enfin le terrain », a déclaré le président Akpaki Deladem samedi 13 mars à Atakpamé lors du lancement de la reprise des activités sportives.
