En raison d’une guerre de succession en interne, le deuxième vice-président de l’Union des forces du changement (UFC), Elliot Ohin est coupé de l’évolution des activités de la commission électorale nationale indépendante (CENI) alors même que le parti a un représentant. A ce titre, il émet des doutes sur la fiabilité du scrutin à venir.
« Saisie à plusieurs reprises sur les dérives de comportements de ceux qui y représentent le parti ; notamment la substitution de ceux-ci aux dirigeants du parti, la rétention des courriers destinés au parti, la CENI n’a pas daigné répondre. Le comble, c’est la publication de la liste des membres UFC des CELI autre que celle envoyée officiellement par le représentant légal du parti », dénonce l’ancien ministre des Affaires étrangères.
A cet effet, le numéro 3 de l’UFC demande à l’institution chargée d’organisation les futures élections présidée par Dago Yabré d’améliorer les relations entre elle et le bureau directeur de l’UFC et de procéder à l’annulation pure et simple de cette liste et la publication de celle signée par le représentant légal du Président national du parti.
C’est depuis plusieurs mois, que la guerre de leadership est déclarée à l’UFC de Gilchrist Olympio. Elle oppose le le camp Elliott OHIN à celui du député Sena Alipui, conseiller spécial du président national de cette formation politique et par ailleurs, 3e Vice –président de l’Assemblée nationale.
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